• Ste Martine de Rome

    Ste Martine de Rome

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    « ObsèquesDevinette ? »
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  • Commentaires

    1
    Vendredi 31 Janvier 2020 à 15:51

    Ta verve dessinatrice n'a pas baissé ! Florentin

      • Vendredi 31 Janvier 2020 à 21:37

        c'est pas faux ,mais depuis quelques temps je suis ailleurs sollicité....note que c'est pas plus mal:ça diversifie mes occupationsyes

    2
    Mo
    Vendredi 31 Janvier 2020 à 15:52
    Mo

    Tiens, pourquoi est-elle toute rouge, Martine?

      • Vendredi 31 Janvier 2020 à 21:38

        parce qu'elle est pas gris-bleuehe

    3
    Vendredi 31 Janvier 2020 à 15:54

    Tiens ! Martine au pays des Indiens réducteurs de tête. glasses

      • Vendredi 31 Janvier 2020 à 21:39

        il est exact que j'ai été un peu imprécisyes

    4
    Samedi 1er Février 2020 à 09:45

    Dis donc t'as des guest toi. Et martine à la plage c'est pour quand ?

      • Samedi 1er Février 2020 à 16:02

        he justement en cherchant dans les couvertures de cette héroïne  le visage qui me paraîtrait convenable pour l'intégrer au tableau du Greco,j'ai vu quelques détournements pas mal glasses

    5
    Samedi 1er Février 2020 à 10:30

    Bonjour

     

    fondement historique ou hystérique, that is the question ?

     

     

    bon weekend

      • Samedi 1er Février 2020 à 16:10

        c'est surtout dans les saintes et les saints qu'y avait des hystéro

    6
    Samedi 1er Février 2020 à 10:37

    Salut Durdan !

     

    Il est certain qu’avec le fondement historique

    elle a du l’avoir bien profond la Martine : elle est toute rouge !

    La Martine qui n'a rien à voir, bien sûr, avec Alphonse !

     

    Le lac,

     

    Va dissiper la nuit.


    « Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive,

    Hâtons-nous, jouissons !

    L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ;

    Il coule, et nous passons ! »


    Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse,

    Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur,

    S'envolent loin de nous de la même vitesse

    Que les jours de malheur ?


    Hé quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ?

    Quoi ! passés pour jamais ? quoi ! tout entiers perdus ?

    Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface,

    Ne nous les rendra plus ?


    Éternité, néant, passé, sombres abîmes,

    Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?

    Parlez : nous rendrez vous ces extases sublimes

    Que vous nous ravissez ?


    Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !

    Vous que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir,

    Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,

    Au moins le souvenir !


    Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages,

    Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux,

    Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages

    Qui pendent sur tes eaux !


    Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,

    Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,

    Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface

    De ses molles clartés !


    Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,

    Que les parfums légers de ton air embaumé,

    Que tout ce qu'on entend, l'on voit et l'on respire,

     

    Tout dise : " Ils ont aimé ! »

     

    Et pis  c'est tout !

    Bonne journée !

     

    Le Rotpier

     

    http://rotpier.eklablog.com/

     

      • Samedi 1er Février 2020 à 15:59

        merci de m'avoir  replongé dans mes 16 ansintello

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